Faire un don

DERRIÈRE LES IDÉES REÇUES,
DERRIÈRE LES STRATÉGIES
ÉLECTORALISTES
le vrai visage
des migrants.

Ils n’ont pas
d’autre choix que l’exil.
Vous avez le choix
de les aider.

  • LE saviez-vous ? Population

    • 96.7 %
      de la population mondiale
      réside dans son pays
      de naissance.
    • 48 %
      des personnes qui migrent sont
      des femmes. En France il y autant
      de femmes étrangères célibataires
      que d’hommes étrangers célibataires
      qui vivent, travaillent et étudient.
    • Aujourd’hui les personnes migrantes
      sont souvent plus qualifiées et plus
      jeunes que la population française.
      Près de 40 %
      sont ainsi diplômés
      de l’enseignement supérieur.
    Source : Nations-Unies, 2015 - Insee
  • Répartition des migrants internationaux
    dans le monde

    Source : Nations-Unies, 2015 - Insee
  • LE saviez-vous ? Morts et disparus en mer

    Depuis 2014, plus de 10.000 personnes en migration ont perdu la vie en Méditerranée.
    Au large du département français de Mayotte, selon les autorités comoriennes,
    en 20 ans ce sont au moins 12.000 personnes qui ont péri.
    Source : Boats 4 People
  • LE saviez-vous ? les réfugiés

    • L’Europe accueille 8 réfugiés
      pour 1 000 habitants
      contre
      183 pour 1 000 pour le Liban.
    • Les pays pauvres ou en voie
      de développement accueillent
      86% des réfugiés.
    • Les premiers pays d’accueil
      sont la Turquie (2.5 millions),
      le Pakistan (1.8 millions),
      le Liban (1.1 millions)
      et l’Iran (1 million)
    L’Union européenne a reçu 1.2 million demandes d’asile. 330.000 ont été acceptées.
    En France, en 2015, sur 80075 demandes d’asile enregistrées, seulement 19 506 personnes
    ont obtenu une protection en tant que réfugié.
    Pour mémoire en 1979,
    alors que la France subissait de plein fouet le choc pétrolier,
    elle a su accueillir 120.000 réfugiés boat people vietnamiens et cambodgiens.
    Source : Nations-Unies, 2015 - Ministère de l'intérieur
  • Liberté de circuler

    La liberté de circulation, le droit à la mobilité n’est pas le même pour tout le monde
    selon la nationalité ou le risque migratoire supposé.


    Un ressortissant français peut ainsi voyager sans visa dans 157 pays
    là où une personne de nationalité afghane n’aura accès qu’à 24 pays.
    Source : Petit guide « Comprendre les migrations internationales », La Cimade

CERY

31 ans, d’origine guinéenne, migrant pour raison politique

Voir son témoignage
  • CERY

    31 ans, d’origine guinéenne, migrant pour raison politique

  • Son parcours

    En Guinée, en 1998, à son retour de l’école, Cery découvre ses parents et son petit frère assassinés par le régime en place. La répression à l’encontre des opposants politiques est alors féroce. Cachée pendant des années, Cery rejoint la France en 2004.

    De galères en hébergements d’urgence, Cery perd tout espoir. Sans pouvoir fournir de preuves de sa situation, sa demande d’asile est rejetée, son recours aussi.

    Sans papiers, elle garde des enfants pour un salaire modeste, mais bénéficie d’une chambre chez ses employeurs.

    C’est alors qu’elle rencontre La Cimade, « l’association qui m’a tendue la main ».
    La Cimade l'accompagne dans la réécriture de son histoire et se met en relation avec sa famille en Guinée pour constituer un nouveau dossier. Elle obtient enfin un titre de séjour. « Je n’y croyais même plus » avoue Céry.

    Aujourd’hui naturalisée, Céry travaille, prépare un diplôme d’ATSEM, est mariée et a un petit garçon de 4 ans.

  • Derrière les chiffres

    48% des personnes qui migrent sont des femmes.
    Source : Nations-Unies 2013 et Enquête “ Trajectoires et origines ”, INED-INSEE, 2008-2011.

    48%

  • Derrière les idées reçues

    Les migrants sont surtout des hommes

    qui laissent femmes et enfants au pays.

    52 % des personnes qui migrent sont des femmes. Et ce ne sont pas seulement des femmes qui suivent leur mari ! En France, il y a autant de femmes étrangères célibataires que d’hommes étrangers célibataires. Et quand elles sont en couple ? Dans le cadre du regroupement familial, désormais, une fois sur trois, c’est la femme qui part la première puis son conjoint qui la rejoint, et non l’inverse.

  • Nos actions d'aide

    Les équipes ont informé Cery de ses droits, l’ont accompagnée dans la rédaction et la défense de son dossier.

    Les équipes de La Cimade aident les personnes étrangères et les accompagnent dans leurs démarches auprès des différentes administrations. Elles interviennent si besoin dans les démarches d’accès aux soins et aux droits sociaux.

    Cery a participé pendant un an et demi avec un groupe de femmes à un atelier d’écriture organisé par La Cimade animé par une femme écrivain. Ensemble elles ont rédigé un recueil de leurs parcours et histoires.

    La Cimade accompagne également les personnes dans leurs démarches pour suivre des formations, suivre des cours d’apprentissage de la langue française.

FRANCIS

D’origine congolaise, migrant pour raison politique, décédé en juillet 2016

Voir son témoignage
  • FRANCIS

    D’origine congolaise, migrant pour raison politique, décédé en juillet 2016

  • Son parcours

    « J’avais l’objectif de vivre encore un peu » témoigne Francis, responsable d’une ONG de développement en République Démocratique du Congo et qui a contesté la régularité du processus électoral de 2011. Menacé, incarcéré pendant plus d’un an, il s’échappe de prison après que ses proches aient corrompu le gardien.

    Il arrive en France en septembre 2013 avec le passeport d’un compatriote. Hébergé chez sa sœur puis par une association d’aide aux personnes fragilisées, il obtient le statut de réfugié en septembre 2014. Ce statut obtenu, Francis n’est plus éligible à un logement selon les critères de l’association.

    Il contacte alors La Cimade et rejoint le centre de Massy. « Nous ne sommes pas de petits enfants, La Cimade nous oriente mais respecte nos choix » assure Francis qui a commencé, avec son assistant social, les démarches pour un regroupement familial.
    « Je voudrais que ma femme me rejoigne avec mes enfants.»

  • Derrière les chiffres

    Il y a 230 millions de migrants dans le monde, soit environ 3% de la population mondiale.
    Ce taux est stable depuis 30 ans.

    • Derrière les idées reçues

      12% des immigrés en Europe viennent d’Afrique.

      En 2013, sur les 72 millions d’immigrés en Europe, 12% seulement viennent d’Afrique (soit 9 millions). La majorité des immigrés, à 52%, viennent d’autres pays d’Europe (soit 38 millions).
      Source : Nations Unies.

    • Nos actions d'aide

      La Cimade a permis à Francis de bénéficier d'un logement provisoire.
      Il réside depuis plusieurs mois dans le centre d’hébergement de Massy, qui accueille près de 85 personnes de 14 nationalités.

      Les personnes hébergées dans le centre international pour réfugiés de Massy bénéficient d’un accompagnement et d’un soutien pour l’accès aux droits, les démarches en vue de leur insertion professionnelle, l’accès aux soins, au logement, à l’apprentissage de la langue française

    JOSEPH

    30 ans, d’origine congolaise, migrant pour raison politique

    Voir son témoignage
    • JOSEPH

      30 ans, d’origine congolaise, migrant pour raison politique

    • Son parcours

      « Votre voix compte, allez voter ! » Ce message politique a coûté sa liberté à Joseph, originaire de République Démocratique du Congo, emprisonné pendant plus d’un an. Libéré grâce à l’intervention de ses proches, il fuit en France en septembre 2013.

      « Déboussolé, dans une détresse totale », Joseph passe ses premières nuits dans les gares. Reccueilli par « une femme de mon pays qui avait elle–même un parcours de réfugiée » il se heurte à l’administration, qui, alors qu’il est en fuite, lui demande des justificatifs pour prouver sa situation.

      Il obtient finalement le statut de réfugié en septembre 2014 et rencontre La Cimade via les services de la mairie de Massy. « Hébergé au centre de Massy, avec un toit pour dormir, pour réfléchir, j’ai pu commencer à penser à mon avenir » raconte Joseph qui a suivi une formation et trouvé un emploi dans une banque.

      « Ce n’est pas ce que j’aurais souhaité pour moi. La France m’a accueilli mais j’aurais préféré rester dans mon pays. »

    • Derrière les chiffres

      Plus de 23 000 personnes sont mortes aux frontières de l’Europe entre 2000 et 2013.

      2000 2003 2006 2009 2013
      + de 0
    • Derrière les idées reçues

      C’est le travailleur sans-papier

      qui est en faute devant la loi.

      L’employeur a l’obligation de vérifier l’autorisation de travail de l’étranger avant de l’embaucher. Mais nombre d’employeurs profitent de la situation de faiblesse des personnes sans-papiers pour les exploiter. Les étrangers sont aujourd’hui placés dans une situation ubuesque par les préfectures, qui exigent souvent d’eux de démontrer qu’ils travaillent déjà en France pour accepter de les régulariser... Alors même que le fait de travailler sans titre de séjour peut conduire à une expulsion.

    • Nos actions d'aide

      Joseph a été accueilli dans le centre de réfugiés de Massy.

      Il a bénéficié d’un soutien moral et d'un accompagnement social.
      Il a pu être conseillé par La Cimade pour le choix de sa formation.

    IBRAHIMA

    20 ans, d’origine guinéenne, migrant pour raison familiale

    Voir son témoignage
    • IBRAHIMA

      20 ans, d’origine guinéenne, migrant pour raison familiale

    • Son parcours

      A la suite des décès rapprochés de son père et de sa mère, Ibrahima, jeune guinéen
      de 16 ans est placé, en 2012, sous la responsabilité de son oncle qui le maltraite.
      Ne pouvant s’opposer ouvertement à ce dernier, Ibrahima suit les conseils d’un ami de son père, vend la maison parentale, lui confie l’argent pour pouvoir s’assurer logement et études en France. Il se retrouve à Nantes, abandonné par l’ami qui devait l’héberger.

      Livré à lui-même, il est orienté vers une association d’aide aux demandeurs d’asile
      et transféré dans le centre départemental de prise en charge des mineurs isolés étrangers (MIE). Pour bénéficier de la protection accordée aux mineurs, malgré
      son extrait de naissance, Ibrahima doit prouver sa minorité. Les tests médicaux pratiqués au CHU de Nantes, méthodes très contestées, révèlent que le jeune homme a plus de
      18 ans. Il est alors sous le coup d’une obligation de quitter le territoire français (OQTF). Sans argent ni lieu où dormir et manger, il est orienté vers La Cimade par une association. Malgré l’aide d’une avocate et le soutien de La Cimade, sa demande
      de protection sera refusée à plusieurs reprises par le juge des enfants. Soutenu par les bénévoles de La Cimade Ibrahima reprend confiance parvient à être scolarisé et intègre Sciences politiques.

    • Derrière les chiffres

      1 migrant sur 3 est un enfant. Sur les 1.4 million de demandes d’asile
      enregistrées par l’Union européenne en 2015, 406 000 étaient faites
      par des mineurs.

      Source : Rapport UNHCR 2016.
    • Derrière les idées reçues

      Pour bénéficier d’une protection de l’État,
      un mineur étranger isolé doit simplement
      signaler sa présence à la CRIP (Cellule de Recueil des Informations Préoccupantes).

      Dans certains cas, la minorité de ces jeunes peut être contestée. En l’absence de documents d’état civil prouvant la minorité, une expertise médico-légale peut alors être ordonnée par une autorité judiciaire. La fiabilité de ses tests est fortement remise en cause par l'Académie nationale de médecine qui considère que les expertises osseuses ne permettent pas « de distinction nette entre 16 et 18 ans », la marge d'erreur pouvant atteindre dix-huit mois.

    • Nos actions d'aide

      La Cimade partout en France s’efforce de mettre à la maltraitance des mineurs étrangers. Lorsque leur minorité est contestée ces derniers se retrouvent seuls,
      sans aucune ressource, proies faciles des trafiquants de toute nature.
      Depuis plusieurs années les équipes de La Cimade interviennent auprès
      de ces jeunes, développent des référés libertés
      pour ceux, qui comme à Mayotte se retrouvent en centre de rétention, conduisent ou appuient des actions menés par
      des avocats pour que soient reconnus leur minorité, s’organisent pour des appuis alimentaire ou en terme de logements.

      Démarches administratives, procédures d’appel, contacts répétés auprès
      des ambassades pour obtenir des cartes consulaires, recherche d’employeurs
      pour des prises en charge en apprentissage, démarches auprès des lycées…
      Face au désengagement des pouvoirs publics la Cimade en lien avec d’autres associations comme l’Unicef ou Réseau éducation sans frontière mène un combat âpre pour que ces jeunes jetés à la rue puissent s’en sortir.

    MARIAME

    42 ans, d’origine malienne, migrant pour raison médicales

    Voir son témoignage
    • MARIAME

      42 ans, d’origine malienne, migrant pour raison médicales

    • Son parcours

      Mariame élève seule ses deux filles au Mali. Durant 3 ans et demi Mariame assiste à la régression physique et psychique de son enfant. A l’apparition de convulsions et nouveaux symptômes un médecin lui conseille de venir en France rencontrer des spécialistes à l’hôpital Necker. Là, après trois mois d’analyses, le diagnostic, tombe, implacable. La petite est atteinte du syndrome de Rett, une maladie rare et dégénérative
      (9 000 enfants touchés dans le monde, 40 en France) qui n’affecte que les petites filles.

      Mariame se voit confrontée à un choix terrible : si elle rentre au Mali, en l’absence du traitement lourd qu’exige la maladie, sa fille mourra. Si elle reste en France, elle doit laisser son autre enfant pour une durée indéterminée. Elle choisit la vie mais entre dans un parcours semé d’embûches, de peines et d’humiliations. Elle finira par rencontrer des bénévoles de La Cimade qui durant trois ans vont l’accompagner dans ses démarches pour qu’elle parvienne à obtenir un titre de séjour. Car pour Mariame, ce titre signifie qu’elle peut travailler, ce qu’elle désire avec force pour n’être une charge pour personne.

    • Derrière les chiffres

      Le titre de séjour pour soins (toute pathologie confondue) est de moins en moins accordé : 97% de taux d’accord en 2002, 85% en 2011 et 74% en 2012.

      Source : Chiffres préfectures.
    • Derrière les idées reçues

      Un sans-papiers peut bénéficier

      d’une couverture maladie.

      L’Aide médicale de l’État (AME) est destinée à permettre l’accès aux soins des personnes en situation irrégulière, sous conditions de résidence et de ressources (moins de 716 euros par mois pour une personne seule). Les soins médicaux et hospitaliers sont pris en charge à 100 % dans la limite des tarifs de la sécurité sociale. Les frais dépassant le barème de l’assurance maladie ne sont pas remboursés, et certains soins spécifiques ne sont pas pris en charge.

    • Nos actions d'aide

      L’accès aux soins des étrangers en situation administrative précaire vivant en France a été régulièrement remis en cause ces dernières années notamment par la réforme de l’Aide Médicale d’État (AME) en 2002. Face à ce constat et afin d’apporter un accompagnement complet, La Cimade a mis en place le programme « Santé Migrants ».

      La Cimade propose des permanences spécifiques d’accueil et d’accompagnement pour les personnes malades et leur famille.

      En parallèle, La Cimade renforce les capacités des bénévoles sur la thématique de la santé. Les équipes de La Cimade informent et sensibilisent les acteurs du secteur médico-social. La Cimade mène aussi des actions de plaidoyer pour que soit redonné au droit de séjour pour raison médicale sa vocation première : permettre aux personnes malades résidant en France de poursuivre leur prise en charge médicale, sans vivre sous la menace d’une expulsion.

    Les aider, c’est notre choix

    « La Cimade a pour but de manifester une solidarité active avec les personnes opprimées et exploitées. Elle défend la dignité et les droits des personnes réfugiées et migrantes, quelles que soient leurs origines, leurs opinions politiques ou leurs convictions. Elle lutte contre toute forme de discrimination et, en particulier, contre la xénophobie et le racisme. » (Article 1 des statuts)

    Dans un parcours difficile, jonché d’obstacles et de peines, les migrants peuvent compter sur La Cimade pour les orienter, les accueillir et les défendre.

    En 2015, 100 000 personnes
    conseillées et accompagnées.

    Hébergement : 200 réfugiés et demandeurs d’asile dans les centres de Massy et de Béziers.

    131 permanences juridiques accueillent des dizaines de milliers de migrants, réfugiés et demandeurs d’asile.

    Aide dans les démarches administratives
    et de la vie quotidienne.

    Formations à la langue française.

    La Cimade est présente, parmi ses actions liées à l’enfermement, dans 75 établissements pénitentiaires pour aider les personnes enfermées à faire appliquer leurs droits.

    Les équipes ont rencontré 2329 personnes incarcérées dont 170 femmes. Elles ont donné lieu à 5 463 entretiens.

    La Cimade a conçu et réalisé un guide juridique en 8 langues à destination des personnes étrangères, distribué directement par les bénévoles ou disponibles dans les bibliothèques des établissements.

    Appui aux personnes incarcérées dans la compréhension des documents administratifs et aide à la rédaction des documents.

    Propose un travail de traduction.

    Les équipes, à partir de leurs constats et analyses, ont publié un rapport d’observation, à l’ombre du droit,  sur les nombreux obstacles rencontrés par les personnes pour accéder à leurs droits.

    La Cimade travaille avec 14 associations partenaires en Algérie, au Mali, au Maroc, en Mauritanie, au Niger, au Sénégal, en Tunisie pour :

    La défense des droits des migrants dans les pays de transit.

    L’aide aux réfugiés et aux personnes expulsées.

    La valorisation des migrants comme acteurs de développement et de construction de la paix.

    Avec ses 2 000 bénévoles dans 13 régions, La Cimade :

    Agit auprès des décideurs politiques pour faire changer les politiques migratoires.

    Sensibilise l’opinion publique aux réalités migratoires grâce à ses 85 groupes locaux.

    Crée des événements comme le festival annuel Migrant’scène désormais présent dans plus de 45 villes en France.

    Publie des outils de sensibilisation.

    Construit des propositions pour changer les politiques d’immigration actuelles.

    Faire un don

    DÉCOUVRIR L’ENGAGEMENT DE LA CIMADE

    L’exode qui se déroule actuellement doit être regardé comme une multitude d’histoires individuelles d’hommes et de femmes faisant le choix contraint de partir pour échapper aux dangers qui les menacent. Ils ont l’espoir de trouver dans nos pays la possibilité de vivre en sécurité et dans la dignité.

    Cette espérance est la raison d’être de La Cimade, son engagement au quotidien.

    Voir l'engagement de la Cimade

    Les soutenir, c'est votre choix

    Faire preuve d’hospitalité et de solidarité, ce n’est pas seulement un devoir moral.
    C’est aussi faire le choix de permettre à ces hommes et femmes de nous apporter les richesses qu’ils portent en eux,
    avec leur histoire, leur courage et leur force de vie.

    Ils n'ont pas eu d'autres choix que l’exil
    Vous avez le choix de les aider.

    Votre don de

    75€

    correspond à 250 livrets de lutte
    contre les préjugés sur les migrants.

    Après déduction fiscale,
    votre don revient à 25 €

    Votre don de

    150€

    correspond à 1 ligne d’urgence
    pour 1 an
    dans une permanence.

    Après déduction fiscale,
    votre don revient à 50 €

    Votre don de

    350€

    correspond à 5 jours de formation juridique pour un/une bénévole de La Cimade.

    Après déduction fiscale,
    votre don revient à 119 €

    Faites un don avant le 31 décembre 2016 pour bénéficier de votre déduction fiscale dès 2017

    Aidez les migrants, faites un don

    La Cimade est membre du Comité de la Charte,
    organisme qui contrôle sa transparence financière.

    Fermer

    Crédits

    Photos :
    © Jean Larive / MYOP
    © Eric Lafforgue / age fotostock
    © Jose Azel / Aurora Op / age fotostock
    © Vali
    © Celia Bonnin
    © La Cimade
    © Albert Chaibou - AEC
    © Alexander Koerner / Getty Images


    Site :
    © Adfinitas
    http://www.adfinitas.fr

    Réalisation vidéos :
    © Monsieur Monsieur
    http://www.monsieurmonsieur.com
    © Stéphane Gaden